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Iridologie - L'iridologie, l'histoire de santé dans les iris des yeux

par Irido Nature, le 07/07/2013
L'iridologie, l'histoire de santé dans les iris des yeux

La santé, une notion personnelle à définir

Il n’est pas évident de définir la notion de santé pourtant si simple car aucune définition courante ne donne vraiment universellement satisfaction. Du point de vue de la médecine scientifique, la santé coïncide avec un état parfait de la mécanique du corps, celui-ci étant conçu comme une machine complexe. Jusqu’au moindre détail de la cellule, tout doit fonctionner avec exactitude, tout écart par rapport à la norme vient bouleverser tout le fonctionnement de la machine. Il est certain que ce genre de santé parfaite du corps et toutes ses manifestations au sens de la médecine inaugurée par Virchow n’existe en aucun être. De plus, le vécu de la personne forcément subjective, reste ignoré et n’est pas pris en compte. Chaque être humain fonctionne avec plus ou moins d’imperfections mécaniques. C’est pourquoi, la notion de santé définie sur le plan mécanique fait appel à la norme des signes cliniques objectifs. Si l’ensemble des résultats de tous les examens diagnostiqués possibles à l’heure actuelle se situent dans la plage de la norme fixée, la personne passe pour être en bonne santé. Ici, nous trouvons aussi une disparité entre signes objectifs et subjectifs. C’est ainsi que, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme un «état de bien-être complet physique, mental et social». Cette définition souligne clairement la part subjective des signes cliniques. Toute personne qui se pose des questions et étudie sur elle-même les signes des troubles, fera l’expérience embarrassante de devoir différencier signes cliniques objectifs et subjectifs (fatigue chronique, migraine, céphalées, colopathie fonctionnelle, syndrome anxieux, spasmophilie, etc...). Chacun sait que les troubles subjectifs peuvent être fréquents sans que l’on puisse pour autant se dire malade. Il existe aussi une foule de maladies organiques lourdes (cancer, cirrhose silencieuse, angine de poitrine, ulcère de l’estomac, diabète, etc.) qui peuvent évoluer pendant une longue période sans que ne se manifeste aucun trouble de l’état subjectif. Ce n’est que dans les stades avancés de la maladie que se manifesteront les signes cliniques subjectifs. Comment trouver une définition satisfaisante à partir de ces deux tendances ? Les exemples ci-dessus cités mettent en évidence une disparité entre signes objectifs et signes subjectifs, disparité qui interdit de définir la bonne santé par la seule sensation de bien-être. D’un autre côté, il existe la même disparité entre l’absence de signes objectifs organo-pathologiques et les troubles subjectifs parfois graves. A l’heure actuelle, on constate une augmentation de plus en plus importante du nombre de ce que l’on appelle les troubles subjectifs fonctionnels ou végétatifs parfois graves. On conclura de prime abord que, ni la sensation de bien-être, ni la normalité d’un examen clinique objectif ne peuvent être, à eux seuls, l’expression de la bonne santé. Pour résoudre partiellement la difficulté, on intégrera la notion de santé comme la combinaison des deux signes, à savoir la présence du bien-être et l’expression des signes cliniques objectifs normaux. Dans cette combinaison, nous inclurons une troisième catégorie de signes définie par l’OMS, le bien-être social. Un chômeur, un travailleur à la chaîne insatisfait, dont le bien-être social est perturbé parce que leur inactivité ou leur activité n’ont à leurs yeux aucun sens et de surcroît qu’il règne un mauvais climat dans leur entreprise ou qu’ils ont depuis longtemps perdu l’espoir d’avoir droit à une promotion. Ces personnes éprouvant un bien-être physique et psychique normal, mais dont le bien-être social est perturbé, doivent-elles être exclues de la notion de la santé de l’OMS ? De ces constatations, il serait donc judicieux de définir la notion de santé en tenant compte d’au moins trois facteurs indissociables pour cerner de façon assez précise cette notion de santé : 1. la santé ne peut absolument pas être définie de manière générale mais seulement sur le plan individuel. Autrement dit, il y a autant de possibilités de santé que d’êtres vivants, ou bien chaque être humain porte en soi son propre potentiel de santé. Il est indispensable de définir la norme de santé de chaque individu.

La santé de l’homme s’exprime au moins dans trois dimensions ; physique, psychique et spirituelle. Ces trois dimensions doivent fonctionner en harmonie pour la cohérence de l’ensemble.

La santé est un état labile, sans cesse à renouveler. Elle est toujours en devenir. Au terme harmonie cité précédemment s’associera celui de l’équilibre, un équilibre à envisager spécifiquement pour chaque zone, chaque fonction de l’organisme humain. Ainsi la santé est quelque chose de composite, constituée d’innombrables «santés partielles» mais tenues par un tout cohérent.

La santé devrait donc s’appréhender comme un but constamment à atteindre et non pas comme un acquis permanent. Une telle santé est liée à la réalisation de soi et au sens que l’on donne à sa vie. La santé dans les iris des yeux : il est communément admis que les yeux sont le miroir de l’âme, mais aussi celui de tout le corps devrait-on ajouter pour être complet. Dès le XVIe siècle, le médecin Paracelse clamait : «considérez l’œil dans la tête, avec quel art il est construit et comment le corps a imprimé si merveilleusement son anatomie dans son image». Hippocrate, le père de la médecine moderne précise, «Tels sont les yeux, tel est le corps». L’iridologie est la science de l’iris, et l’iris est le reflet vivant de tout ce qui se passe dans notre corps, notre âme et notre esprit. L’iris est le témoin de notre santé dans ces dimensions physique, psychique et émotionnelle. L’iridologie permet de connaître les conditions internes du corps par l’analyse des fibres, de la pupille, de la couleur, du relief et de la forme de l’iris. Pour jouer ce rôle de messager du corps, l’iris remplit trois exigences : rencontrer le corps, échanger avec lui, puis intégrer les variations constante du corps. L’iris reflète les sentiments, réagit au danger comme à la beauté. La beauté, cette qualité de l’âme peut être définie comme une expression de l’intérieur du corps qui coïncide avec l’extérieur. Toute forme, tout objet, toute manifestation est doté d’une conscience et cette conscience c’est l’âme. Cette conscience est partout, elle n’est pas seulement dans le cerveau. L’âme se manifeste dans la cohésion des atomes qui nous constituent et dans une certaine sensibilité à l’environnement. L’iris enfin est le reflet de l’ensemble de l’organisation cosmique. C’est la réplique du macrocosme. L’iris est un être vivant autonome, en harmonie avec tous les corps de l’être humain en accord parfait avec l’univers dont il est l’émanation tangible. Dans l’iris, le temps et l’espace sont indissociables. Nous actualisons notre état d’être en fonction de ce qui va arriver. Nous anticipons notre devenir en fonction de ce qui va être, comme l’explique Alexis Carrel dans son livre «L’homme cet inconnu». L’utérus par exemple qui se prépare à recevoir le fœtus, prépare sa muqueuse pour ce jour à venir. Pour l’expulsion du bébé, tout est également préparé à l’avance ; les changements hormonaux s’amorcent, les seins se gorgent de lait pour accueillir le futur bébé. Chaque événement de la vie s’inscrit au fond de nous-mêmes. Notre personnalité humorale et tissulaire se spécialise de plus en plus à mesure que nous grandissons.

L’histoire de santé dans les iris

L’être humain est une symphonie inachevée. Alors que l’animal peut déjà dans les quelques heures qui suivent sa mise bas, galoper, manger, s’autonomiser, l’homme est un avorton qui doit apprendre pour sa survie. Au début de la vie, les organes sont immatures, son immunité n’est pas prête pour les combats de la vie, il doit apprendre par étapes successives à manger, marcher, parler et penser. La respiration ne devient normale qu’à l’âge de raison. Au début de la puberté, les cellules du cerveau répondent de plus en plus aux vibrations mentales. Les émotions, la sensibilité se développent, ce qui crée des modifications physiologiques et psychiques importants. A l’âge adulte s’exprime enfin un rejet des principes inculqués par l’éducation parentale, l’esprit critique se développe. Plus tard, les idées généreuses apparaissent mais l’homme est tenaillé ensuite entre l’ambition et le désir de faire face à ses obligations familiales et sociales. Les rapports du psychisme et des organes sont différents chez l’enfant et l’adulte. Chez l’adulte, la vie psychique est relativement indépendante des organes déjà achevés. Chez l’enfant, tout est encore confondu ; l’organe et la vie psychique évoluant ensemble, les manifestations de l’âme enfantine et les phénomènes de l’organisme sain ou malade sont encore inséparables. Le psychisme s’exprime dans la pensée, le sentiment et la volonté. Si l’émancipation des forces formatrices augmente à l’excès pour se dépenser davantage dans le psychisme, les organes sont en quelque sorte «exprimés» (comme une éponge). C’est ainsi que naissent les troubles mentaux. La santé doit bénéficier du temps de la construction et de la déconstruction, du temps de l’intégration des processus qui doivent s’exprimer dans la biographie humaine. Ces processus concourent à l’individualisation et permettent de comprendre la santé comme une étape évolutive et historique de la personne. L’iridologie permet de lire cette histoire inscrite dans les iris des yeux.

Le bilan de santé par l’iridologie se déroule en 7 étapes 

1. L’état des minéraux et des oligoéléments dans l’organisme

«De l’infime au plus grand : remettre son organisme dans le rythme de la vie» L’organisme humain obéit à la «loi du plus petit». Ce sont les oligoéléments (manganèse, cuivre, chrome, zinc, sélénium, cobalt, molybdène, vanadium…) et les minéraux (calcium, potassium, sodium, magnésium, soufre, chlore, phosphore, silicium, fer) qui sont les acteurs de cette loi. Selon cette loi, une cascade de réactions biochimiques pour le fonctionnement de l’organisme ne peut se faire s’il manque un élément de la chaîne métabolique, même si l’organisme possède les autres nutriments en quantité importante. Le plus petit manquant dicte sa loi. Les rôles joués par ces acteurs dans la forme de l’organisme sont très variables :

- constitutions des tissus,

- régulateur des mouvements d’eau

- rôle dans l’excitabilité neuromusculaire

- élaboration des hormones, des enzymes… soit par incorporation directe, soit par un mécanisme catalytique

- les glucides, les lipides, les protéines et les vitamines ne peuvent être apportés au corps humain que si celui-ci dispose de suffisamment de minéraux. Du fait de l’absence du plus petit, Il s’en suit un blocage de la réaction biochimique, une perte de la forme, du bien-être et de la santé. Les blocages des réactions biochimiques peuvent venir des carences accumulées et aussi des molécules «séquestrées».

2. L’état de son environnement

«Les intestins : Ce qui a fermenté et putréfié il faut l’éliminer» L’être humain est à la fois un aquarium ambulant ; il est constitué de 70% d’eau et d'une plante qui «marche» ; il puisse ses nutriments dans son environnement intestinal.

Le système digestif est la cuisine communautaire de notre «république» cellulaire. Le travail se fait en équipe et à la chaîne entre la bouche, l’œsophage, l’estomac, le foie, la vésicule biliaire, le pancréas, les bactéries, l’intestin grêle et le gros intestin. La coopération est absolue, les déchets de la veille sont chassés par l’arrivée des aliments du jour. Dans les conditions optimales, l’auto nettoyage se fait convenablement avant l’arrivée du prochain repas à condition de ne rien consommer entre les repas. Cet auto nettoyage est garant d’une digestion optimale et d’une bonne assimilation des nutriments. 

3. L’état du mouvement/repos de l’organisme

«L’être se construit par le mouvement et se régénère par le repos» La connaissance et la maîtrise des rythmes du corps permettent la régénération, la souplesse et la croissance du corps. La vie de l’être humain est soumise à des métamorphoses qui suivent un ordre déterminé et ont un déroulement rythmique. La connaissance de ces métamorphoses et des crises qui les accompagnent a une importance pratique : elle nous aide à maîtriser les tâches que nous assigne la vie. 

4. L’état de veille/sommeil de l’organisme

«L’être génère la force et la volonté par un sommeil réparateur et une veille incorporée» Beaucoup de nos contemporains souffrent de troubles de sommeil et nous devrons ajouter de troubles de veille, car ils dorment mal la nuit, ils sont mal éveillés le jour. Mais le problème de veille et du sommeil ne peut être résolu que si nous arrivons à comprendre ce qui se passe dans ces deux états. Dans l’alternance entre ces deux états, nous entrevoyons immédiatement un processus rythmique, une oscillation entre deux pôles : celui où nous avons la disposition de notre pleine conscience, et l’autre où la conscience disparaît. Entre ces deux pôles se situent des états transitoires, ceux du rêve au sein desquels le rêve éveillé et le rêve endormi ne sont que des nuances plus ou moins orientées vers l’un ou l’autre de ces deux pôles. Ces processus sont le fondement du vouloir c’est-à-dire la capacité d’agir, reposant notamment sur la production de chaleur et d’énergie. La base de notre volonté se déploie dans un état de sommeil. La qualité du couple veille/sommeil est indispensable pour avoir un élan et une direction dans sa vie. Rêver sa vie, c’est être attentif dans un élan de vie, dans une direction, savoir être à l’écoute de soi-même, tremplin vers le bonheur. 

5. L’état de sécrétion/excrétion

«Comment l’être s’encombre ou se désencombre - trop de bonne chose est une mauvaise chose» L’examen des sécrétions et excrétions du corps a de tout temps joué un rôle important dans le bien-être pour l’évaluation des dysfonctionnements organiques et psychiques qui se déroulent de manière invisible en nous. De nombreuses illustrations montrent le médecin du Moyen Âge, tenant un verre d’urine à la main pour déterminer l’état de santé de son patient. Des documents de l’époque nous apprennent que la première urine produite «au cri du coq», recueillie dans un récipient transparent et protégé de la chaleur ainsi que de la lumière du soleil, était apportée à «l’examinateur d’urine» qui l'évaluait une première fois à l’état frais puis une nouvelle fois deux heures plus tard, en fonction de sa densité, de sa couleur, de son odeur, du goût et de ses dépôts.

6. L’état de la respiration cellulaire

«L’important n’est pas l’oxygène que l’on respire mais celui que le corps assimile» La vitalité de notre organisme est dépendante de l’énergie dont nous disposons. Mais l’énergie elle-même est la résultante physiologique du bon état de chacun des systèmes organiques qui composent l’individu. Ainsi, les baisses d’énergie affectent la bonne marche de notre métabolisme (ensemble de fonctions consommatrices et libératrices d’énergie). La vitalité de notre métabolisme s’altérant, c’est l’assimilation et la transformation des nutriments qui se fait mal au sein de la cellule ; une production accrue de déchets mal éliminés générant une auto-intoxication progressive de l’organisme. Cette auto-intoxication affaiblit notre vitalité et par là même le bon fonctionnement de notre organisme. La toxicité due à l’accumulation des déchets mal éliminés se manifeste sournoisement et de façon variée, par l’apparition de maladies métaboliques comme les hépatites chroniques (d’origine non virale et médicamenteuse), l’athérosclérose, les rhumatismes, les allergies... La diminution de la vitalité et l’affaiblissement de notre terrain favorisent l’apparition de maladies plus graves telles : cancers, sclérose en plaque. Mais avant de générer en nous de tels désordre, l’organisme émet des signaux d’alarme plus discrets que nous ne sommes malheureusement pas habitués à écouter. Ces signes sont, par exemple, la fatigue chronique, la manque de mémoire, des perturbations cardiaques, cardio-vasculaires et circulatoires. 

7. bilan de la nature de l’être

Le Naturopathe-Iridologue définit :

- La structure constitutionnelle : ce que j’ai, l’être intérieur. La constitution est inscrite en nous

- Le tempérament : ce que je fais. J’agis en fonction de ce j’ai

- La diathèse : ce que je deviens.

- les désirs : l’humain est un être de désir. Le désir nous crée. Le désir de créer provoque en nous la pulsion motrice, celui de nous séparer favorise la pulsion anale, celui de reconnaissance la pulsion du langage et celui de l’autre la pulsion génitale.

LE BILAN DE SANTE PAR L’IRIDOLOGIE N’EST PAS UN DIAGNOSTIC MEDICAL MAIS UNE ETUDE DE TERRAIN.

 

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